Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Journal Ouvert
22 février 2012

Naissance

une étincelle de volonté s'est allumée, un pas vers la lumière, serai-ce l'ennuie ou la routine d'avoir souvent mal ou de ne pas se sentir assez bien dans ma peau qui m'a conduit à tester le processus "écrire pour évacuer...", ou bien le fait de se sentir étranger dans ce monde commun qui pousse l'individu à chercher de nouveaux moyens de communication, suis-je l'étrange ? ou c'est peut-être mon entourage qui est étrange, en tout cas, l'équation du bonheur ne marche plus, le processus du "sourire toute la journée" ne dure que quelques heures, voire quelques minutes, abscence de la motivation bien remarquée, serai-ce les symptômes d'une dépression qui s'approche ? si c'est le cas, je dois absolument faire agiter mon luc, il faut admettre qu'on est jamais à l'abri des ondes négatives de l'autrui, que ça nous pourchasse partout où on va, elle a même la force de paraitre sous une lumière blanche qui te fait la morale, alors que non, le rejet total est indispensable, il faut vivre la liberté une fois dans sa vie en moins, le rejet total de la société, de l'autrui, la vie ne se résume pas aux relations qu'on forge avec les autres, vous allez croire que ce sont des mots familiés, copier coller de la bouche d'Alexander supercramp, alors que ce sont mes mots, ce sont ses mots, et ça doit être les mots de chaque individu, le bonheur est une notion de joie à durée indeterminée, le bonheur est partout, autour de nous, le fait d'avoir le courage le matin de se lever pour aller étudier est un bonheur, se laver dans la grâce matinée c'est un bonheur, se changer est un bonheur, manger est un bonheur, même pisser après une envie turbulante est un bonheur, le bonheur ne se résume point à une simple relation qu'on mène avec une autre personne, ou à mener une vie sociale dépourvu d'innovation et de créativité, il faut essayer en moins le goût ou le sentiment d'être indépendant, d'être libre, de survoler tout seul dans un espace vide sans vétement ni accessoire, ça aurai été plus-qu'euphorique si c'était possible de vivre comme ça durant toute sa vie, mais il faut admettre que l'autrui aussi est indispensable dans une période de notre vie, donc il est préférable de ne pas être dépendant des autres, et d'être capable de créer son bonheur durant leurs absence...

Publicité
Publicité
Commentaires
Journal Ouvert
Publicité
Archives
Publicité